Nono, de Thierry Le Pennec
Louis Dubost a eu son "Pas revoir" de Valérie Rouzeau. Que soit donné à Yves Landrein le même succès avec ce "Nono" de Thierry Le Pennec. Cet ouvrage édité en 2009, vient de recevoir le Prix Eugène Livet 2011 et ce n'est que juste récompense. Ici la mort, c'est celle du frère. La mort, cette "cavale blanche" bien connue des brestois. Une mort qui touche une fratrie de sept. La mort vue par un homme et son quotidien. Tout de suite, on a envie d'être ami avec cette fratrie. Il y a de l'amour, de l'humour, de la musique et des mots chez ces gens-là. Et toujours la nature, si chère à Thierry Le Pennec. Une mort en plein milieu pour dire aussi l'après. Le retour dans sa maison, la première Toussaint, le travail avec le fils, l'écoute des chansons aimées ensemble, l'amour aussi et le souvenir, tout le souvenir. Après avoir lu ce livre, écoutez le sublime Denez Prigent et sa chanson "Go...