Paul Quéré
couche par couche
effaçant le vide
sondant des possibles
non encore imaginés
refusant l'enfermement
dans la redondance des formes
de l'objectivité
naturalisante
les empaillements de l’œil
disant la ligne comme
une fuite d'avance comme
un recul constant
de l'horizon
la main proposant le tracé
l’œil justifiant ou non
veillant à l'habitation
des noirs et des blancs
pour affirmer la présence
des formes et des couleurs
considérant le motif
comme une opportunité
picturale
peinture sans préalable
Texte et peinture : Paul Quéré
Poèmes celtaoïstes
Éditions Sauvages
effaçant le vide
sondant des possibles
non encore imaginés
refusant l'enfermement
dans la redondance des formes
de l'objectivité
naturalisante
les empaillements de l’œil
disant la ligne comme
une fuite d'avance comme
un recul constant
de l'horizon
la main proposant le tracé
l’œil justifiant ou non
veillant à l'habitation
des noirs et des blancs
pour affirmer la présence
des formes et des couleurs
considérant le motif
comme une opportunité
picturale
peinture sans préalable
Texte et peinture : Paul Quéré
Poèmes celtaoïstes
Éditions Sauvages
Commentaires
Enregistrer un commentaire